Les manière de frapper sont longuement abordée au début de la partie sur le dussack. Cependant un chapitre entier est dédié aux frappes secondaires. Pris séparément ils n’ont pas une grande valeur, mais s’entraîner à tous les faire est un bon début pour appréhender la pratique.
Dans l’introduction du chapitre sur les coup secondaire, Joachim Meyer précise qu’il s’agit de tous les coups qui ne sont pas juste faits pour toucher selon les quatre directions. Il y a ceux qui sont fait en retournant la main pour frapper du plat ou du court tranchant, mais aussi les coups donnés pour provoquer l’adversaire, ou prendre son attaque.
En bref ils s’agit de tous les autres coups qui vont exploiter les trois principes qui seront vu dans le billet sur la description du combat : provoquer, déplacer, ou toucher.
Le coup plongeant
Dans l’Approche, en plus de faire un pas, donne un coup de dessus depuis ta droite, qui repasse par ton côté gauche, de façon à ce que ton dussack revienne se projeter au-dessus de ta tête en décrivant un cercle, ou plonge en venant d’en haut, de manière à ce qu’à la fin de la projection, la pointe avant se retrouve face au visage de l’adversaire, semblablement au Taureau à gauche, mais en devant envoyer la pointe plus loin devant toi, vers le visage de l’adversaire. Ce coup a été nommé d’après ce plongeon venant du haut, car en soi ce n’est seulement qu’un coup de dessus. Laisse aussitôt ta pointe avant aller vers le bas et ta droite avec la main retournée, et ramène immédiatement ta garde vers le haut et autour de ta tête, tout en levant le pied gauche pendant que tu ramène [ton arme] vers le haut. Avance ainsi avec ton pied gauche, et frappe depuis ta gauche en revenant par ton côté droit, de façon à ce que ta pointe vienne de la même manière, plonger par-dessus ta tête dans un mouvement circulaire, comme avant, afin que la pointe avant se trouve face au visage de l’adversaire. Laisse ensuite encore une fois [ton dussack] courir sur ton côté gauche, et frappe d’un côté à l’autre jusqu’à ce que tu arrives à l’endroit voulu.
Le coup plongeant est souvent utilisé dans l’Approche comme menace d’estoc. C’est quelque chose que l’on retrouve souvent à l’épée longue. Le coup plongeant peut aussi être fait depuis les gardes basses à la suite d’une frappe, comme on le voit dans cette pièce. Cette manière fait de faire tourner son arme sur le côté et derrière soi pour revenir projeter la pointe d’en haut est souvent désignée par les verbes umbscheissen ou überschiessen. C’est un geste que l’on retrouvera souvent dans la pratique des armes à une main chez Joachim Meyer. Dans le cas du coup plongeant, on note que le verbe übersturtzen est utilisé, pour bien rappeler que l’arme plonge d’en haut.
Le coup tordu
Le coup tordu est fait ainsi : tourne bien ta prise sur la poignée de ton dussack, de façon à ce que le tranchant incurvé aille devant en frappant et touche. Frappe aussitôt d’au-dessus ou d’en dessous en fonction de l’opportunité.
Le coup tordu au dussack est décrit de façon très similaire à celui de l’épée longue, mais avec une seule main. Plus loin dans le traité, il est indiqué que c’est un coup qui commence et finit essentiellement dans la garde médiane.
Le coup raccourci
Le coup raccourci dans l’Approche. Lorsque tu es avisé que l’adversaire veut frapper d’en haut, alors prends garde au moment où il monte avec son dussack pour frapper, et dans le même temps, ramène ton arme vers ton épaule gauche. Depuis celle-ci frappe en même temps que lui horizontalement avec le court tranchant, en passant par-dessus son bras et vers son visage, de façon à ce que la paume de ta main se trouve vers le haut en frappant. Ainsi, tu lui attrapes son coup et tu le touches en même temps.
Le coup raccourcis est, déjà décrit dans la partie sur l’épée longue, revient ici au dussack. Il s’agit ici de prendre de court un adversaire qui attaque d’en haut avec une frappe simultanée. Comme le rappelle la description de la partie sur l’épée longue, le coup raccourcis démarre comme le coup tordu, mais au lieu d’entrer directement en contact avec l’arme adverse, on passe par-dessous pour la bloquer depuis l’autre côté.
Le coup contraignant
Il existe deux façon de faire le coup contraignant. La première est vaguement décrite : il s’agit juste de dégager les attaques adverses avec le long tranchant depuis la garde médiane à gauche. D’après les pièces concernées depuis cette même garde médiane, ce premier coup contraignant se ferait plutôt ainsi :
Si dans l’Approche tu viens devant l’adversaire dans la garde médiane, et qu’il frappe vers ton ouverture la plus proche, alors dégage le coup qui vient vers toi avec le long tranchant, depuis ta gauche vers sa droite, d’en haut et le long de la ligne diagonale descendante, afin que tu viennes sur le côté droit avec ton dussack. Avec ce coup, marche également bien vers son côté droit avec ton pied gauche. Aussitôt que cela se passe, marche plus loin vers lui avec ton pied droit, et avant qu’il ne se reprenne du dégagement de son premier coup, frappe rapidement depuis ta droite par-dessus son dussack ou son bras droit, en passant par son visage.
La deuxième version du coup est sensiblement différente :
Tiens-toi encore une fois avec le pied droit devant, et tiens ton dussack avec le bras tendu devant toi, dans l’entaille ou dans la parade droit devant. Si l’adversaire te frappe depuis sa droite, et qu’il envoie son coup haut, alors laisse ta pointe aller vers le bas, et ramène simultanément ta garde vers ta gauche, en passant sous son dussack, afin qu’il manque ton dussack en frappant au-dessus. Pendant qu’il est en train de tomber vers le sol avec son dussack, frappe rapidement vers sa tête en passant à l’extérieur et par-dessus son bras droit. Veille à ce qu’en passant ainsi par-dessous son arme, tu ramènes bien ta tête sous ta parade en penchant le corps, afin qu’il ne puisse pas t’atteindre.
Si dans la première pièce on crée l’ouverture en renvoyant l’attaque adversaire, ici on laisse passer sa frappe par-dessus notre arme en faisant une esquive de corps. On riposte ensuite vers l’endroit d’où l’adversaire à donné son coup, suivant un des principes récurrents que donne Joachim Meyer dès qu’il s’agit de toucher les ouvertures.
La manière d’esquiver le coup est un peu confuse : d’un côté on baisse l’arme pour laisser passer le coup, de l’autre on doit ramener la tête sous la parade, et cela sans qu’un déplacement soit mentionné. Cela n’est appuyé par aucun élément du texte, mais une manière de réaliser cette esquive pourrait ressembler à ceci :

Le coup rugissant
Veille à ce que tu emmènes la parade de l’adversaire vers le haut, et dans le même temps, tourne ta prise sur la poignée, de façon à ce que tu tiennes ton dussack de travers. Ramène alors ta garde autour de ta tête avec le dussack suspendu, et après qu’il soit monté, frappe d’en bas depuis ton côté droit et horizontalement avec le tranchant incurvé sous son dussack, vers le radius ou à l’intérieur vers les tendons, en faisant un pas de côté vers son pied droit avec ton pied droit. Laisse ensuite ton dussack revenir se projeter devant ton visage dans la parade.
Ce coup est un des rares à ne pas viser spécifiquement la tête. La cible indiquée pour cette frappe, “radius”, “tendons à l’intérieur du bras”, est remarquablement plus précise que lors des autres coups donnés au membres, où l’on parle juste de viser le bras ou la jambe en général. On rencontre le coup rugissant deux fois dans les pièces de la garde du Bœuf, où il est décrit de façon sensiblement identique, et illustré par la gravure ci-dessous :

Le coup du réveil
Envoie à l’adversaire un puissant coup de dessus. S’il pare le coup, alors au moment ou [les armes] s’entrechoquent, ou que le coup touche sa parade, tourne le coup en estoc, et pousse ton dussack par-dessus le sien, vers son visage, comme les deux personnages à droite de la gravure [P] te l’apprennent.

S’il monte, alors frappe vers le haut avec le tranchant incurvé en passant par son bras, comme tu peux le voir avec les grands personnages.

Il n’y a pas grand chose de particulier à dire sur ce coup : tourner la pointe vers l’adversaire une fois entré dans le liage faire partie des grands principes que Joachim Meyer. De même l’estoc le fait se découvrir par en dessous à cause de la parade, ce qui permet de placer le coup rugissant présenté juste avant.
Le coup de la Rose
Si tu trouves l’adversaire qui t’attends dans l’Arche, alors fais comme si tu voulais le frapper d’en haut à la tête, mais ne laisse pas le coup toucher, et va sur l’extérieur en passant par-dessous son bras droit, de manière à ce que tu ailles autour de son dussack en décrivant un cercle. Dans le mouvement, laisse de nouveau courir ton dussack sur son côté droit, et frappe vers son visage.
Tu peux ainsi également aller de l’autre côté autour de sa parade en décrivant un cercle, et le frapper à l’intérieur, là où tu le trouveras découvert.
Comme à l’épée longue, ce qui concerne la Rose est assez mal défini par Joachim Meyer. Ici le coup de la Rose semble décrire une frappe précédée par un changement de côté en passant de façon relativement ample sous le bras de l’adversaire.
Le coup dangereux
Le coup dangereux s’effectue ainsi : lorsque tu viens devant l’adversaire dans l’Approche, prends garde, et aussitôt que tu penses pouvoir l’atteindre, observe avec soin le moment où il voudra frapper. Pendant qu’il ramène son dussack en l’air pour frapper et qu’il est en hauteur avec son dussack, frappe d’en haut vers son visage ou sa poitrine, en passant à côté de sa garde.
La description de ce coup montre encore une combien l’escrime de Joachim Meyer, et l’escrime allemande en général, manque d’outils pour décrire le temps. En effet, cette pièce indique juste d’attaquer l’adversaire à contretemps, pendant le temps de sa frappe. Mais ces notions n’existent pas chez Meyer, a contrario de chez les italiens depuis un certains nombres d’années déjà.
L’origine du nom de cette frappe mérite d”ailleurs le coup d’œil pour sa grande inventivité :
Ce coup dangereux doit être fait avec prudence, car autrement il est dangereux. C’est pourquoi il est appelé le coup dangereux.
La frappe du Courroux
Le nom allemand de la frappe du Courroux est Entrüsthauw. Dans le messer de Lecküchner, il s’agit de la frappe équivalente au coup transversal de l’épée longue. Cependant chez Joachim Meyer, le geste décrit avec le dussack n’a plus grand chose à voir avec celle faite au messer.
Entrüst à une signification proche de Zorn en allemand, et Joachim Meyer explique que son nom vient de l’attitude que l’on adopte en frappant : “comme si tu t’étais soudainement emporté contre lui avec courroux”. Ce coup est aussi appelé “Rückhauw“, ou coup armuré, car il “attrape les coups de dessus en l’air, et il les maintient comme une pièce d’armure“. On constate que dans le texte allemand, le terme getrüst pour désigner l’armure, ce qui n’est pas sans rappeler le nom de la frappe entrüsthauw. Cela pourrait être un indice comme quoi le sens originel du mot échappe peut-être à l’auteur, quasiment cent ans après sa première utilisation dans un traité d’escrime.
Si l’adversaire te frappe d’en haut, alors observe le moment où il ramène son dussack en l’air pour frapper, ramène simultanément le tient autour de ta tête, et frappe horizontalement, un peu d’en dessous, en remontant vers son coup, de manière à ce que tu attrapes son coup tant qu’il est en lair avec le long tranchant et le dussack à l’horizontale, de façon à ce que ton dussack se trouve à l’horizontale entre lui et toi, comme te le montre le grand personnage à droite de la gravure [G]. Au moment où les dussacks entrent en contact, tu pourras faire beaucoup de bonnes pièces.

Cette première version de la frappe du Courroux semble juste être une parade du long tranchant avec la lame horizontale. On note qu’un armement est réalisé pour préparer la parade. L’illustration de cette pièce n’offre pas plus d’informations, l’arme du personnage désignée ayant l’air d’être plus verticale qu’horizontale.
Tiens-toi avec le pied gauche devant, et tiens ton dussack dans le Sanglier, de la manière que tu trouveras [décrite] plus tard. S’il frappe d’en haut, alors monte dans la parade avec tes deux bras, de façon à ce que le dos de ton dussack vienne reposer sur ton bras gauche, et saute sous son coup. Au moment où les armes s’entrechoquent, estoque-le au visage en passant à l’extérieur de son bras droit, de la manière que te montrent les petits personnages à gauche de la gravure O.

Cette deuxième frappe du Courroux également bien différente de la première. Ici on pare le coup en laissant reposer l’arme sur son bras gauche. Le texte indique de marcher sous le coup mais ne précise pas avec quel pied : il s’agit sûrement du pied gauche. Si la majorité des actions avec les armes à une mains se font avec la jambe droite devant, lorsque que le côté gauche est impliqué, on avance le pied de ce côté, comme le montre cette illustration d’une défense similaire à cette deuxième frappe du Courroux.

Le coup manqué
Dans l’Approche, si tu trouves ton adversaire dans l’Arche ou dans la parade droit devant, alors marche, et frappe d’en haut à l’extérieur de son bras droit. Au moment où tu remarques qu’il va parer, laisse le court tranchant plonger près de son bras, et ramène simultanément ta garde vers le haut, de façon à ce que tu ne touches pas avec le coup, et que tu le laisses courir le long de son bras en manquant, afin qu’il aille trop loin pour parer. Marche rapidement vers sa gauche, et frappe droit devant vers son visage. Tu pourras ainsi laisser le coup manquer et courir le long de chaque ouverture, contre ceux qui vont à l’encontre des coups pour parer.
La mécanique de ce coup manqué ressemble beaucoup à celle du ablauffen décrit dans la partie sur l’épée longue. Il s’agit toujours d’une bonne technique pour feinter l’adversaire.
Le coup aveugle
Si l’adversaire te frappe d’en haut, alors attrape son coup en l’air, au-dessus de sa tête sur le long tranchant et avec le dussack à l’horizontale, de façon à ce que la pointe s’étende vers sa gauche, de la même façon qui t’a été enseignée plus haut à propos de la frappe du Courroux. Aussitôt que les armes se percutent ou rentrent en contact, tourne le court tranchant vers l’intérieur en faisant une touche rapide vers son visage. Après lui avoir envoyé cette touche rapide, retourne immédiatement la garde de ton dussack vers le haut et la gauche, ramène-le rapidement vers ta droite, et frappe avec le long tranchant en avant vers son visage. Avec ce coup, marche bien hors de son coup autour de sa gauche.
Comme dans sa version de l’épée longue, le coup aveugle au dussack est une touche rapide envoyée au visage depuis le liage. Malheureusement, le texte ne donne pas d’informations particulières la raison d’appeler cette frappe “le coup aveugle”.
La touche rapide
Retiens ceci : si tu te tiens devant l’adversaire dans l’Arche, et qu’il ne veut pas frapper, alors ramène [ton dussack] vers le haut jusque dans le Veilleur, comme si tu voulais frapper d’en haut. Cependant ne fais pas cela, tourne [le coup] en l’air, et frappe d’en dessous en donnant une touche rapide vers son bras droit avec le long tranchant, et retourne le dussack en arrière vers ton épaule gauche. Depuis cette position, donne un coup défensif passant par sa droite et son visage, que ce soit par-dessous ou par-dessus son bras.
Item. Lorsque l’adversaire se tient devant toi dans l’Arche, et qu’il ne veut pas œuvrer, alors envoie une touche rapide vers sa tête par-dessus son dussack avec le court tranchant ; ou bien, s’il maintient sa parade en hauteur, envoie une touche rapide vers son visage en passant sous sa parade.
La touche rapide est un élément important du combat chez Joachim Meyer : c’est la manière de toucher l’adversaire de puis le liage. Contrairement à une frappe classique il n’est pas armé et ne passe donc par aucune garde.
Le coup tourné
Lorsque tu frappes depuis le haut et ta gauche vers l’intérieur, alors ramène et retourne le dussack vers le bas et ta gauche, de façon à ce que tout se passe dans un même mouvement, comme si tu voulais découper un morceau, une moitié, de son côté. Cela se fait des ceux côtés.
L’exemple du coup tourné au dussack est différent de celui présenté à l’épée longue. Ici on passe d’un coup partant et revenant de la gauche, alors qu’a l’épée longue il s’agit d’une frappe dessous transformée en frappe de dessus. Cependant dans les deux versions, les deux actions se font du même côté de l’adversaire.
Le coup percutant
Le coup percutant se fait ainsi : lorsque vous vous tenez l’un devant l’autre avec la parade en hauteur dans l’Arche, qu’aucun ne veut frapper avant l’autre, et que vous attendez chacun les coups de l’autres, alors penche toi devant lui, et frappe droit devant toi et contre son dussack, de façon à ce tu touches sa poitrine avec ta garde, et si fort que ton dussack rebondisse une ou deux fois contre son visage. Avec cela tu le contrains à œuvrer. Dès qu’il monte, marche sur son côté gauche, et frappe à l’intérieur vers son visage en passant à côté de sa garde, ou effectue une autre pièce plus appropriée après que tu l’aies fait monter.
Ce coup particulièrement brutal semble essentiellement reposer sur le fait de percuter la poitrine de l’adversaire avec sa garde. On ne retrouve pas cette actions la suite du traité.
Le coup changeant
Le coup changeant est également enseigné aux élèves avec les cinq coups. A la base et en soi, ce n’est rien d’autre que de changer d’un côté à l’autre avec un coup. Mais étant donné que dans ce livre, je parle souvent d’alterner [de côté] en changeant avec les frappes et les pièces, il est inutile d’aborder ceci ici.
Comme le texte le rappelle, les coups changeant font partie de la base de l’escrime, et ils ont été traité dans la parties sur les coups principaux, où ils sont également nommés treibenhauwen, les coups pour rabattre l’arme adverse.
Le coup de la Croix
Tiens-toi avec le pied droit devant, frappe le premier coup depuis ta droite en passant par sa gauche, le second depuis ta gauche en passant par sa droite, et tous les deux en diagonale en travers de son visage. Apprends à faire cela de une à quatre, cinq ou six fois, en avançant ou en reculant, toujours en restant avec le pied droit devant. Lorsque tu veux avancer, prépare-toi avec le pied arrière, afin que tu puisses avancer le pied droit. Tu dois toujours faire au moins un pas pour les deux coups qui sont envoyés de chaque côté à travers la Croix.
Etonnamment le coup de la Croix revient dans la partie sur les coups secondaire, alors qu’il était déjà présent dans celle sur les coups principaux. On le retrouve ici sans changement notable, à savoir qu’il s’agit toujours d’envoyer deux coups en diagonale l’un contre l’autre, en gardant le pied droit devant. Une précision est apporté quant aux pas : un pas peut être suffisant pour faire les deux frappes du coup de la Croix, mais il faut penser a ramener le pied gauche derrière le droit entre deux pas en avant.
Le dussack de Joachim Meyer :
- Généralités sur le dussack
- Divisions de l’adversaire et de l’arme
- Déplacement et distance
- Gardes, coups, et estocs
- Travail avec les coups principaux
- Coups secondaires
- Défenses et parades
- Description du combat chez Joachim Meyer
- Travail au fer
- Changements de cible et feintes
- Le Veilleur
- Le Taureau
- La Colère
- La parade droit devant
- L’Arche
- Le Sanglier
- La garde médiane
- Le Changement
- Le Bastion
- Les entrées en lutte
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