La Taureau lest la deuxième garde dont les pièces sont présentées dans la partie sur le dussack. Cette posture est similaire à celle du Bœuf à l’épée longue, et consiste à placer l’arme au-dessus de sa tête en menaçant l’adversaire de la pointe. C’est une des gardes les plus importantes pour le dussack de Joachim Meyer, qui y dédie un grand nombre de pièces.
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Le dussack de Joachim Meyer, Partie 11 : Le Veilleur
La première garde dont Joachim Meyer décrit les pièces est la garde haute, aussi appelée garde du Veilleur. Elle est l’équivalent de la garde du Jour de l’épée longue, et suivant la même logique, c’est depuis celle-ci que sont envoyés les coups de dessus.
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 9 : Travail au fer
La plupart des coups et des parades se terminent par la rencontre de l’arme avec celle de l’adversaire : c’est ce qu’on appelle le liage. Dans celui-ci le combat fait appel à d’autres mécanismes et perceptions. L’utilisation du fort et du faible, la gestion de la fermeté ou de la souplesse du contact de la lame vont être les clés de cette partie de l’affrontement.
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 8 : Description du combat chez Joachim Meyer
Maintenant que les notions de bases ont été abordées pour le dussack, nous allons faire une mise au point sur les différents éléments du combat, tels que présentés chez Joachim Meyer.
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 7 : Défenses et parades
La parade avec le dussack suit les mêmes principes que pour l’épée longue. Au début de son ouvrage, Joachim Meyer fait une description étendue du concept de parade, qui peut s’appliquer à l’ensemble de son escrime :
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 6 : Coups secondaires
Les manière de frapper sont longuement abordée au début de la partie sur le dussack. Cependant un chapitre entier est dédié aux frappes secondaires. Pris séparément ils n’ont pas une grande valeur, mais s’entraîner à tous les faire est un bon début pour appréhender la pratique.
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 5 : Travail avec les coups principaux
Après avoir décrit les gardes et le lien qui les relie aux frappes, Joachim Meyer présente une série d’exemples sur la manière de donner les quatre coups principaux. Ces différents exercices enseignent à la fois les différentes manières de frapper et de se déplacer, ce qui constitue la base de l’escrime au dussack, mais aussi de l’épée seule.
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 4 : Gardes, coups et estocs
Les gardes sont essentielles dans l’escrime : ce sont les points de départ et d’arrivée de chaque action. Les attaques, comme les défenses partent d’une garde pour finir dans une autre. Elles balisent ainsi la gestuelle, permettant de découper des phrases d’arme complexes en éléments plus simples.
Continue readingLe dussack de Joachim Meyer, Partie 1 : Généralités
Dans son traité “Discours détaillé sur l’Art du combat” publié en 1570, le strasbourgeois Joachim Meyer aborde le maniement des armes à une main avec le dussack, une sorte de sabre très en vogue dans l’Allemagne du XVIe siècle. Comme sa pratique est une base essentielle pour de nombreux aspects de l’escrime de Joachim Meyer, je vous propose une série d’articles qui feront une revue détaillée du maniement de cette arme.
Continue readingL’épée seule de Joachim Meyer, Partie 11 : La porte de fer – Travail dans l’Avant
L’adversaire n’est pas obligé d’attaquer à tout va. Il peut au contraire choisir d’être dans l’attente, prêt à parer et riposter contre tous les coups et les estocs qui lui seront envoyés, comme ce qui a été vu dans la première partie des pièces sur la porte de fer. Face à ces adversaires qui se montrent patients, Joachim Meyer propose plusieurs exemples pour déclencher l’attaque adversaire, et ainsi reprendre l’avantage avec des parades et des ripostes.
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