Le dussack de Joachim Meyer, Partie 12 : Le Taureau

La Taureau lest la deuxième garde dont les pièces sont présentées dans la partie sur le dussack. Cette posture est similaire à celle du Bœuf à l’épée longue, et consiste à placer l’arme au-dessus de sa tête en menaçant l’adversaire de la pointe. C’est une des gardes les plus importantes pour le dussack de Joachim Meyer, qui y dédie un grand nombre de pièces.

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Le dussack de Joachim Meyer, Partie 11 : Le Veilleur

La première garde dont Joachim Meyer décrit les pièces est la garde haute, aussi appelée garde du Veilleur. Elle est l’équivalent de la garde du Jour de l’épée longue, et suivant la même logique, c’est depuis celle-ci que sont envoyés les coups de dessus.

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Le dussack de Joachim Meyer, Partie 9 : Travail au fer

La plupart des coups et des parades se terminent par la rencontre de l’arme avec celle de l’adversaire : c’est ce qu’on appelle le liage. Dans celui-ci le combat fait appel à d’autres mécanismes et perceptions. L’utilisation du fort et du faible, la gestion de la fermeté ou de la souplesse du contact de la lame vont être les clés de cette partie de l’affrontement.

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Le dussack de Joachim Meyer, Partie 5 : Travail avec les coups principaux

Après avoir décrit les gardes et le lien qui les relie aux frappes, Joachim Meyer présente une série d’exemples sur la manière de donner les quatre coups principaux. Ces différents exercices enseignent à la fois les différentes manières de frapper et de se déplacer, ce qui constitue la base de l’escrime au dussack, mais aussi de l’épée seule.

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Le dussack de Joachim Meyer, Partie 1 : Généralités

Dans son traité “Discours détaillé sur l’Art du combat” publié en 1570, le strasbourgeois Joachim Meyer aborde le maniement des armes à une main avec le dussack, une sorte de sabre très en vogue dans l’Allemagne du XVIe siècle. Comme sa pratique est une base essentielle pour de nombreux aspects de l’escrime de Joachim Meyer, je vous propose une série d’articles qui feront une revue détaillée du maniement de cette arme.

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L’épée seule de Joachim Meyer, Partie 11 : La porte de fer – Travail dans l’Avant

L’adversaire n’est pas obligé d’attaquer à tout va. Il peut au contraire choisir d’être dans l’attente, prêt à parer et riposter contre tous les coups et les estocs qui lui seront envoyés, comme ce qui a été vu dans la première partie des pièces sur la porte de fer. Face à ces adversaires qui se montrent patients, Joachim Meyer propose plusieurs exemples pour déclencher l’attaque adversaire, et ainsi reprendre l’avantage avec des parades et des ripostes.

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